La psychanalyse de l’Homme aux loups Ce livre est le cinquième que René Pommier consacre à Freud et ce sera le dernier. Malgré le goût que ce polémiste impénitent a pour les sornettes, celles de Freud lui sortent maintenant par les yeux. Il examine dans ce livre la dernière des Cinq Psychanalyses, celle de l’Homme aux loups. Elle a fait l’objet de très nombreux commentaires, mais personne ne s’était encore donné…
Ce livre est le quatrième que René Pommier consacre à Freud, le plus inventif, à ses yeux, de tous les grands dingues que l’humanité a produits. Il est constitué de trois études. La première porte sur l’interprétation que Freud a donnée du Moïse de Michel-Ange. Bien qu’elle ne fasse pas intervenir la sexualité, elle n’en est pas moins profondément freudienne par son caractère totalement arbitraire et une argumentation particulièrement tirée…
Le cas de Roland Barthes est tout à fait extraordinaire. Il l’est d’abord par le nombre et l’énormité des sottises péremptoires qu’il a proférées. Il l’est aussi et peut-être plus encore, par l’incroyable engouement que ces sottises ont suscité. Jamais sans doute un imbécile n’avait été autant célébré, un minable autant admiré, une nullité autant portée aux nues. Le centième anniversaire de sa naissance en 2015 a notamment donné lieu…
Dans ce nouveau livre, René Pommier a rassemblé des textes courts et souvent très courts, les Piques, et d’autres plus longs, les Polémiques. Comme le titre l’indique, presque tous ces textes sont très critiques. Les cibles des Piques sont diverses. On y trouve Jacques Attali, Claude Allègre, le cardinal Barbarin, Roland Barthes, Jean-Jacques Brochier, Paul Claudel, Lucien Goldmann, Jean Lacroix, Leibnitz, Malebranche, Jean-Luc Mélenchon, Madame de Sévigné, Philippe Sollers et quelques autres. René Girard, Freud et Georges Molinié…
Quand il écrit les Pensées, Pascal est persuadé d’accumuler les arguments les plus irréfutables en faveur de la foi chrétienne, d’accabler l’incrédule sous un faisceau de preuves indubitables, aussi diverses que convergentes, de l’acculer à reconnaître, s’il est raisonnable et de bonne foi, que seule la doctrine chrétienne peut expliquer le mystère de notre condition. Or par les continuelles contradictions dans lesquelles il tombe, Pascal ne cesse de ruiner l’explication…